Fermières,
On peut tricoter nous-mêmes d'aussi belles tuques que ces compagnies...
Les tuques ont la cote au Québec
INDUSTRIE VESTIMENTAIRE
KOMBI SPORTS
ISABELLE MASSÉ
LA PRESSE
Forte d’un partenariat avec les
producteurs de La guerre des tuques 3D, Kombi Sports a conçu, pour la présente
saison, des tuques en laine chaudes semblables à celles qui garnissent le crâne
des personnages du film d’animation.
KANUK
ISABELLE MASSÉ
LA PRESSE
Faites de cachemire recyclé et conçues
en collaboration avec Do-Gree Fashions de Montréal, les nouvelles tuques Kanuk
aux pompons amovibles se vendent de 49 à 79 $ et les pompons
synthétiques, de 24 à 39 $. « La tuque est tendance, note
Richard Laniel, de Kanuk. Et nous offrons toutes les couleurs de
pompons. »
LAVOIE ET PLEAU
ISABELLE MASSÉ
LA PRESSE
En 2006, Lavoie a acheté Pleau pour
s’attaquer au marché adulte. Du coup, l’entreprise de Lévis a laissé tomber les
produits pour enfants. Ses tuques sont faites à la main et sont vendues chez
350 détaillants. « On les dessine, et 500 femmes tricotent pour
nous, en Asie, raconte Luc Fortier, de Lavoie et Pleau. On
commercialise de trois à cinq nouvelles couleurs par an. »
FALUN
ISABELLE MASSÉ
LA PRESSE
Falun fabrique des tuques en lycra.
« J’ai commencé à en faire en 2000 pour le club de ski de ma fille,
qui a eu l’idée d’en créer avec du tissu de maillot de bain ! raconte la
propriétaire Renée Gélinas. On a alors mis de la couleur dans le milieu du ski
de fond ! » Le produit est fabriqué dans son atelier de Beaupré.
« Je ne fais pas coudre à l’extérieur, dit Renée Gélinas. L’inspection est
assurée par ma première couturière. »
BULA
ISABELLE MASSÉ
LA PRESSE
Bula propose 300 styles de tuques et
chapeaux, cette saison, fabriqués majoritairement dans sa manufacture de
Montréal. « On essaie toujours d’avoir les technologies de tissus les plus
avancées possible, explique Marilyne Leclerc, de Bula. On a des looks très
jeunes, le fun avec beaucoup de couleurs. Dans la laine mérinos, on est plus
conservateurs toutefois, car c’est plus cher. »
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Merci à Michelle Panneton pour l'idée de lecture.
