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Nouveau-nés du CSSS des Sommets
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14 novembre 2014
12 novembre 2014
4 novembre 2014
Expo-vente 2014
Pour celles qui désirent participer à titre d'exposantes, le 29 novembre prochain, peuvent communiquer avec Huguette Dubeau par courriel à ahdubeau@gmail.com.
Les frais sont de 10,00$ la table ou encore, vous pouvez cuisiner quelque chose que nous vendrons au profit du Cercle.
Merci!
3 novembre 2014
29 octobre 2014
25 octobre 2014
19 octobre 2014
13 octobre 2014
25 septembre 2014
Voici le nouveau logo des Cercles de Fermières du Québec
La lettre Q représente le Québec avec au centre une femme en action. C’est aussi un cercle ouvert qui démontre que notre Association est prête à accueillir toutes les femmes qui désirent s’impliquer socialement et s’épanouir par la créativité.
Les 3 formes égales à l’intérieur, mais de différentes couleurs représentent les différentes activités de la femme :
- Le rouge représente l’éducation, la formation, le développement personnel
- Le jaune représente le maintien de nos traditions culturelles et artisanales ainsi que le bénévolat et l’entraide
- Le vert représente le rôle de la femme comme compagne, mère et éducatrice.
L’intérieur blanc représente la recherche de l’authenticité et de la vérité qui est à la base de la philosophie de notre Association et qui se reflète dans notre cadre d’éthique. Notre démarche vise le maintien de nos valeurs et l’engagement dans notre vie familiale et sociale.
3 septembre 2014
1 septembre 2014
29 août 2014
17 août 2014
24 juillet 2014
20 juin 2014
22 mai 2014
Courtepointe du 100e anniversaire
14 mai 2014
22 avril 2014
11 avril 2014
Documentaire Fermières
ANDRÉ
DUCHESNE
LA PRESSE
Des Cercles des fermières, il ne
reste que les cercles. Car des quelque 35 000 femmes qui font encore partie de
ces organisations aujourd’hui, seulement 2 % vivent à la ferme.
Voilà le constat que nous révèle
la cinéaste Annie St-Pierre dès l’ouverture de son documentaire Fermières
qui sera bientôt sur nos écrans après une préparation de trois ans.
À l’image des fameuses légions
d’anciens combattants, l’organisation est vieillissante, mais elle possède une
riche histoire (100 ans en 2015) et un héritage qui, foi d’Annie St-Pierre, ne
doit pas passer sous le radar.
Héritage ? Oui. Un legs, une
présence, un ancrage très caractéristique des régions, d’autant plus fort (et
inestimable) que celles-ci sont éloignées.
Cette réalité est difficile à
saisir pour les urbains que nous sommes, engoncés dans notre quotidien de
téléréalités et de tablettes électroniques. Elle-même fille de région, Annie
St-Pierre a voulu démythifier la chose.
« J’habite le Mile End, mais
je suis une fille du Bas-Saint-Laurent et ça me fait du bien de retrouver ces
gens-là, d’être avec des femmes comme elles, dit la documentariste en entrevue.
En leur présence, il se produit un échange très particulier. Elles m’aident à
comprendre où nous en sommes comme société. »
Pour véhiculer sa pensée, Annie
St-Pierre s’intéresse plus particulièrement au parcours de quatre membres des
Cercles. Quatre femmes résidant aux quatre coins de la province, aux
personnalités et aux fonctions très différentes. Toute l’essence du film est
là. Nous avons demandé à Mme St-Pierre
de nous les présenter.
« Il y a d’abord Mme Labrie qui incarne le leadership,
commence la réalisatrice. C’est la présidente sortante de la fédération des
Cercles des fermières. À travers son histoire, on comprend la structure du
réseau et ses fonctions. Mme Garon,
âgée de 86 ans, représente la transmission. À travers elle, on ressent
l’importance de vouloir léguer quelque chose aux suivantes. À travers Mme Poulin, on découvre l’historique
du mouvement. Et comme elle est en train de terminer un doctorat, elle vient
nous rappeler que ces femmes peuvent aussi être très instruites. Enfin, il y a
Mme Lacroix. Elle veut de la
reconnaissance, de l’amour et s’illustre dans les concours des cercles. Elle
est pétillante et cherche le glamour. »
BRISER LE MYTHE
Les images du film vous feront
sourire. Bien sûr, on y voit des fermières couper des légumes, participer à de
gentils concours régionaux, chanter des ritournelles surannées, animer des
salles municipales un tantinet tristes, farfouiller dans leurs pelotes de fil
ou avoir une très sérieuse discussion autour d’une démonstration de lavettes
(un plan remarquable). Mais on les voit aussi travailler à l’ordinateur,
se battre pour conserver leurs archives et continuer à défendre leurs valeurs
sous l’œil des caméras.
« Je ne voulais pas d’un film
stéréotypé. Je voulais aller plus loin que le mythe des fermières comme on peut
le concevoir, dit Annie St-Pierre qui se dit attirée par les mondes parallèles.
J’ai voulu présenter les Cercles du point de vue des humains. S’il y a une
caractéristique entre toutes ces femmes, c’est leur besoin de communauté. Elles
ne sont pas individualistes ! »
Un film qui aide à mieux cerner la
réalité des régions, suggère-t-on. « Oui, répond la cinéaste. Ça nous
parle d’une autre réalité. Ça nous apaise un peu. On a l’impression de se
retrouver dans une autre époque. Moi, comme fille des régions, je suis contente
de voir que certaines choses ne changent pas. »
Fermières prend l’affiche le 18 avril.
9 avril 2014
4 avril 2014
23 mars 2014
Bienvenue Florent!
16 mars 2014
13 mars 2014
10 mars 2014
Maladie d'Alzheimer
Pour
diffusion immédiate
Regardez-moi
et non ma maladie. Parlons de l’Alzheimer.
Projetez-vous
dans 15 ans. Certains se seront acheté une maison, auront des enfants. Pour
d’autres, ce sera enfin le temps de profiter de la vie à la retraite. Mais tous
ces plans pourraient aussi fort bien se retrouver à l’eau si, comme 7500
personnes présentement dans les Laurentides, on vous diagnostiquait la maladie
d’Alzheimer.
En 2031,
d’après les plus récentes études, le nombre de personnes atteintes de la
maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée pourrait atteindre 1,4 million
de personnes au Canada. Au Québec, on estime qu’environ 250 000 individus
en souffriront. De plus, il est maintenant prouvé que la maladie frappe parfois
des personnes dans la quarantaine: nul n’est à l’abri.
Pourquoi
marcher
Le
dimanche 25 mai, les gens sont invités à marcher ensemble lors de la Marche de la Mémoire. C’est l’occasion
de se mobiliser et d'accompagner un parent, un proche ou un ami et d'être
solidaire avec les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ou d’une
maladie apparentée, leurs familles et leurs proches. C’est une belle façon de lutter
contre l’exclusion et la ségrégation à laquelle les personnes atteintes sont
souvent confrontées.
Cette
Marche annuelle a pour but de sensibiliser la population à la maladie
d’Alzheimer et aux maladies apparentées. Elle permet d’amasser des fonds pour
permettre aux 20 Sociétés Alzheimer situées à travers le Québec de continuer à
offrir des services de qualité aux personnes atteintes et à leurs proches,
ainsi que de faire avancer la recherche sur les causes de la maladie, les
traitements et la guérison.
Dans la
région des Laurentides, quatre municipalités devraient tenir une Marche de la
Mémoire: Saint-Eustache, Blainville,
Saint-Sauveur et Rivière-Rouge.
Pour ces événements, nous aurons besoin de marcheurs, mais aussi de bénévoles.
Que ce soit pour la journée de la Marche comme telle, pour récolter des fonds
avant la tenue de la Marche ou pour un soutien à l’organisation de la Marche,
tous les bénévoles ayant à cœur la lutte contre la maladie d’Alzheimer sous les
bienvenus.
Notre objectif
L’année
dernière, plus de 6 715 Québécois se sont réunis et ont participé à une
des 46 Marches organisées par la Fédération québécoise des Sociétés Alzheimer
et les 20 Sociétés Alzheimer régionales. Ensemble, ils ont réussi à amasser
plus de 880 000$. Dans les Laurentides, un peu plus de 25 000$ a été
recueilli.
Cette
année, l’objectif de la Fédération québécoise des Sociétés Alzheimer et des 20
Sociétés Alzheimer régionales est d’amasser 1,5 million de dollars. Dans les Laurentides, le montant total visé est de 30 000$.
Quelques statistiques
- Plus de 125 000 Québécois
sont présentement atteints de la maladie d'Alzheimer ou d'une maladie
apparentée.
- 1 personne sur 11 âgée de
plus de 65 ans est actuellement atteinte de la maladie d’Alzheimer ou
d’une maladie apparentée.
- Les risques de développer la
maladie d’Alzheimer doublent tous les cinq ans, dès l’âge de 65 ans.
- Les femmes comptent pour 72%
des Canadiens atteints de la maladie d’Alzheimer.
- Un Québécois sur deux
connaît directement une personne atteinte.
Pour en
savoir plus, communiquez avec la Société Alzheimer des Laurentides par
téléphone au 819 326-7136.
-30 -
Personne ressource - Laurentides
Maxime Coursol
Coordonnateur aux événements et aux communications
Société Alzheimer des Laurentides
31,
rue Principale est, suite 100 C.P.276
Sainte-Agathe-des-Monts, Qc J8C 3A3
Ligne directe: 819-326-7136 ou 1-800-978-7881
Neige Vadeboncoeur
Responsable recherche
de commanditaires, partenariats avec des entreprises, etc.